Lorde, née Ella Yelich-O'Connor, jeune néo-zélandaise de
seulement 17 ans apporte une vague de fraîcheur intemporelle dans son premier
album et nous emporte dans son univers aux accents baroques.
Cette Aucklander a
été découverte à l’âge de 12 ans par Scott Maclachan (directeur d’Universal
Music en Nouvelle-Zélande) via une vidéo tournée pour le spectacle de son
école. C’est à 13 ans qu’elle signe son premier contrat avec Universal.
Auteure, compositrice et interprète, Ella séduit un grand nombre avec son
premier EP, The Love Club EP où l’on
retrouve le divin Royals. Pour
l’anecdote, une de ses chansons apparaît dans la BO du blockbuster Hunger Games : l’Embrasement. (Ça,
c’était pour le point Wikipédia)
Au travers de Pure
Heroine, on découvre une voix suave aux tons graves et mélodieux qui nous entraine dans un univers aux accents
romantico-gothique. Ses prestations ressemblent à s’y méprendre au style sobre
et mélancolique de Lana Del Rey cependant en y regardant de plus près, Lorde
évoque, dans ses textes, une image admirative et faussement dégoutée de la
jeunesse dorée américaine. Comme si elle nous invitait à rejoindre les riches
héros décrits dans les séries telles que Gossip
Girl ou 90210 tout en méprisant
ces derniers au plus haut point (« We
don’t care, we aren’t caught up in your love affair » = « On s’en
fout, on est pas concernés par votre histoire d’amour avec le
superficiel »).
Ses grands yeux bleus et sa crinière brune ont déjà séduit
les Etats-Unis, en effet en peu de temps, Pure
Heroine se positionne à la troisième place du Billboard 200. Et ce
succès va crescendo en Europe. Vous pouvez retrouver toutes les informations de
notre jeune nouvelle idole sur son site http://www.lorde.co.nz/.
Lorde nous certifie que la Nouvelle-Zélande peut nous plaquer autrement que sur
un terrain de Rugby.
♡ Coup de cœur : Tennis Court – Lorde ♡
Pauline, à nouveau., bisous.
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